Rafales d’émotions à la lecture du Vent de l’absolu de Francis Vallat
Premières impressions et retours de lectrices et de lecteurs
Nous publions ici trois extraits représentatifs des dizaines de courriers et messages reçus par
l’auteur du roman Le vent de l’absolu, paru aux Éditions Ouest-France, disponible en librairie
et sur l’ensemble des plateformes de vente à distance.
« Et si Le vent de l’absolu devenait un film ? »
J’ai vécu la lecture de ce livre avec bonheur et ravissement. Je l’ai refermé avec des larmes
aux yeux. J’ai aussi refermé Le vent de l’absolu en sentant un scénario déjà parfaitement
écrit. Si j’étais cinéaste, je n’hésiterais pas une seconde à en tirer un film, avec des vues
magnifiques des alentours d’Étretat avec des couchers de soleils, des tempêtes... Le tout sur
de somptueuses musiques citées dans le livre.
Je me suis même surpris à presqu’immédiatement avoir imaginé dans mon esprit voir
Lambert Wilson dans le rôle de Bertrand, Karine Viard dans celui de Valérie, François Cluzet
dans celui de Paul. C’est peut-être du rêve, mais je reste toutefois convaincu que l’on peut
réaliser un film très réussi à partir de ce scénario.
« Emporté par l’émotion »
Je termine à l’instant « Le vent de l’absolu », commencé ce matin à l’aube. Je n’ai pas pu
m’en détacher. Personne pour me distrair
e, le calme de la campagne, la sérénité de vivre un
moment hors du temps, dans les bras d’Aude ou rêvant en écoutant Beethoven, Chopin…
L’absolu en quelque sorte.
J’ai beaucoup pleuré, emporté par l’émotion de la situation, la description des sentiments de
l’un et de l’autre, la fin majestueuse, magnifique, étourdissante.
Merci de ces moments inoubliables.
« Émotions exceptionnelles »
Si la grandeur d’une œuvre s’apprécie à l’aune des émotions qu’elle génère, ce livre
est exceptionnel. Tout est là, richesse du langage, cadence des séquences, partage
des impressions… avec une sensibilité très particulière. Merci pour ce grand
moment.
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